Dès son accession à l’indépendance, la Côte d’Ivoire a très tôt fondé son développement sur l’agriculture.
Au point d’être devenue la 1ère puissance agricole en Afrique subsaharienne francophone.
En effet, le climat et les sols permettent toutes sortes de cultures :
- Des cultures industrielles et d’exportation : café, le cacao, le coton, l’hévéa, la canne à sucre, l’oléagineux, une palette variée de fruits, ananas, banane, mangue, noix de coco, pomme de cajou, agrumes, etc.
- Des cultures vivrières : maïs, riz, igname, le manioc, banane plantain, mil, du sorgho, du fonio, de l’arachide, de la patate douce, du taro, etc.
Conscients de tous ces atouts, le gouvernement ivoirien a une volonté marquée de mettre en œuvre une politique de transformation structurelle et sociale de l’économie à travers la création de neuf (9) Agropoles et le PNIA2 (programme national d’investissement agricole) qu'il finance avec le concours de bailleurs de fonds internationaux.
L’objectif est d’accroitre le taux de transformation des matières premières, productions vivrières, agricoles et halieutiques tout en limitant les pertes et en augmentant la valeur ajoutée par la production de jus, d’huiles ou d’autres produits dérivés.
Cette ambition des pouvoirs publics ivoiriens en matière de transformation et d’agriculture durable s’accompagne de besoins nombreux et divers en équipements : motoculteurs, faucheuses, vanneuses pour la filière riz, matériel de transformation (lavage, broyage, congélation, conditionnement) pour la filière fruits. Et bien sûr : matériel d’irrigation, l’un des enjeux premiers de la production locale…
Des besoins synonymes d’opportunités pour les entreprises qui proposent des technologies dans ce domaine.